Véronique Gengler
Thérapie familiale et de couple
Thérapie familiale et de couple
Véronique Gengler - Thérapie familiale et de couple
Véronique Gengler

Médiation familiale et judiciaire

Formation des barreaux aux
problématiques des séparations très conflictuelles
Thérapie EMDR

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Thérapies

Mon approche

Mon approche est systémique, orientée vers la solution, une approche bienveillante basée sur l'écoute et qui cherche à aider vite avant de tenter de tout comprendre et d'y consacrer des années.

Qu'est-ce que la thérapie systémique ?
La thérapie systémique se fonde sur l'étude du fonctionnement relationnel des systèmes. Particulièrement féconde dans le domaine de la psychologie clinique et de la thérapie familiale, c'est une thérapie brève, par opposition aux thérapies de type psychanalytique et psychothérapie de longue durée ou de fidélisation. Elle est née au sein de l'école de Palo Alto : Paul Watzlawick psychologue, psychothérapeute et psychanalyste américain, fonda dans les années soixante les thérapies systémiques familiales. C’est une approche globale du problème vécu par le patient, considérant que le symptôme que celui-ci présente est le résultat d'un dysfonctionnement de l'ensemble de l'environnement dont il fait partie intégrante. Autrement dit, tout comportement est adopté en interaction avec autrui, enchevêtré dans un réseau relationnel.

Rogers y ajoutera une qualité d'écoute et une humanité rares : il définit la relation thérapeutique comme une des formes des relations interpersonnelles, ayant pour vocation de favoriser chez l’autre la croissance, la maturité, une plus grande capacité à affronter la vie, en mobilisant ses ressources propres.

Vous êtes les objets et n’existez plus qu’en tant que tel mais par vos interactions, vos liens et comment ces derniers se tendent, se distendent, de cassent.
Tout système a une tendance à l'homéostasie (c'est à dire qu'il favorise l'équilibre en diminuant les différences et en évitant les changements) mais est capable de transformation (c'est à dire qu'il favorise le changement et augmente les différences) pour une meilleure adaptation à la vie.
Plus concrètement :
Dans une famille, par exemple, si un élément change, l'ensemble du système change et une crise survient, la déstabilisation ressentie peut provoquer des symptômes. Ces symptômes (ruptures, difficultés scolaires, dépression, anorexie,...) expriment la souffrance du système, sa remise en question. Il est fort probable qu'ils aient pour fonction de maintenir le fonctionnement du système familial comme il est. Cette souffrance exprimée est donc comme un pansement qui cacherait la plaie mais sans la soigner au fond.
Une crise et donc, éventuellement, un symptôme peuvent être provoqués par une évolution du cycle vital, c'est-à-dire les grandes phases qui jalonnent notre vie (naissance, enfance, adolescence, couple, mariage, divorce, …..)

Thérapie familiale

Véronique Gengler, thérapie de couple

La thérapie familiale aide les gens qui sont dans une relation étroite à s'entraider.

Elle permet aux membres de la famille, aux couples et à tous les autres qui se soucient les uns des autres d'exprimer et d'explorer les pensées et les émotions difficiles, en toute sécurité, à comprendre les expériences et les points de vue des uns et des autres, à apprécier les besoins de chacun, à miser sur les forces et à opérer les changements utiles dans leurs relations et dans leur vie.

Chacun peut trouver une utilité à la thérapie familiale, une occasion de réfléchir sur les relations importantes et trouver des façons nouvelles d'aller de l'avant. La recherche a montré que la thérapie familiale est utile pour les enfants, les jeunes et les adultes dans le cadre d'un très large éventail de difficultés et d'expériences.

La thérapie familiale vise à :

  •   Être respectueuse des besoins de chaque membre de la famille (systèmes) et / ou d'autres relations clés dans la vie des gens
  • Reconnaître et construire sur les forces et les ressources relationnelles des différents membres.
  • Travailler en partenariat « avec » les familles, pas «sur» les membres de ces familles.
  • Rester sensible et ouverte à toutes les formes de famille, aux relations, croyances et cultures de tous et toutes.
  • Permettre aux gens de parler, ensemble ou individuellement, souvent sur des questions difficiles ou pénibles, dans le respect de leurs expériences.

Thérapie de couple

Médiation familiale- Véronique Gengler

Quand le couple va mal, on est confrontés à des difficultés qui semblent insolubles. Chacun, à l'affût des moindres failles de l'autre, de tout comportement qu'il juge négatif ou agressif, devient incapable d'appréhender sereinement les joies (parce qu'il peut y en avoir encore !) et les tristesses que la vie apporte immanquablement.

En thérapie de couple, je vais vous aider à :

  • Modifier votre point de vue de la relation. Tout au long du processus thérapeutique, je tente d'aider les deux partenaires à voir la relation d'une manière plus objective, surtout à arrêter le "jeu du blâme» et tenter de regarder ce qui se passe entre eux comme un processus impliquant chaque partenaire. Comprendre que la relation s'exprime dans un certain contexte, par exemple, de difficultés financières ou de santé. Identifier ces contraintes situationnelles allège le poids que porte le couple.
  • Modifier les comportements dysfonctionnels : changer la façon dont les partenaires se comportent l'un avec l'autre est le plus grand challenge et demande beaucoup de professionnalisme.
  • Réduire l' évitement affectif. Les couples qui évitent d'exprimer leurs sentiments intimes se mettent plus à risque de devenir émotionnellement distants. La thérapie de couple de l'attachement permet aux partenaires d'avoir moins peur d'exprimer leurs besoins de proximité. Selon ce point de vue, certains partenaires qui n'ont pas réussi à développer, à "sécuriser" l'attachement affectif dans leur enfance ont des besoins non satisfaits qui transparaissent dans leurs relations avec les adultes.
  • Améliorer la communication. Être capable de communiquer est l'un des facteurs primordiaux de l'intimité : la communication ne doit pas être agressive, ne devrait ridiculiser l'autre quand il n'exprime ses véritables sentiments. Les couples avec une longue histoire de critiques mutuelles peuvent nécessiter une approche différente de ceux qui cherchent à éviter les conflits à tout prix.
  • Souligner les points forts de la relation et renforcer la résilience plus encore quand la thérapie approche de la fin. Parce que tant de thérapies de couple se résument à se concentrer sur les zones à problèmes, il est facile de perdre de vue les autres domaines dans lesquels les couples fonctionnent efficacement. L'idée est d'aider les partenaires à puiser plus de plaisir dans leur relation, à développer une «histoire» plus positive de leur couple.

En résumé, il faut avoir un regard objectif sur sa relation, se faire aider afin de réduire les comportements dysfonctionnels, sentir que l'on peut partager ses émotions, communiquer plus efficacement, et mettre l'accent sur ce qui fonctionne. Plus important encore, en soulignant que chaque relation a ses défis et ses atouts uniques, vous donnerez à la vôtre les meilleures chances de survie, de vie.

Et n'oubliez pas que l'on n'efface pas les conflits, ne vous épuisez pas à faire des compromis et donc à vous sentir immanquablement frustrés : apprenez à vivre avec!  Gardez vos différences, vos incompréhensions, vos conflits, sans mépris pour l'opinion de l'autre et ne leur laissez pas prendre tout l'espace :  nourissez-vous essentiellement de ce qui « marche », de ce que vous aimez chez l'autre, avec bienveillance, et laissez cette part de votre couple prendre le plus de place possible!

Un peu plus sur la systémique

La souffrance est parfois si envahissante qu'elle déborde le corps, le visage, la voix et surtout les yeux. Regardons souvent les yeux de nos enfants.

Jacques Salomé

Thérapie familiale à Antibes

L’amour n’a pas suffi ou n’est plus au rendez-vous. Il est temps de prendre la décision : la séparation semble inévitable. Et les enfants ?

Toutes les situations sont différentes, bien entendu, certaines plus conflictuelles que d’autres mais, quoiqu’il en soit, aucune n’est idéale. Pour les enfants, la séparation de leurs parents est toujours difficile, aussi harmonieuse soit-elle.

Et les parents ne devraient jamais se servir des enfants pour tenter de se justifier, d’accabler l’autre, de les mettre de leur côté. Ne pas mettre les enfants au cœur du conflit est essentiel, vital même .

La thérapie brève est une méthode de résolution de problèmes qui aide rapidement le patient à trouver une solution efficace et durable. Les psychothérapies traditionnelles recherchent les origines des difficultés psychologiques dans le passé. Les approches systémiques et stratégiques s’intéressent au contraire à la façon dont les problèmes se manifestent dans le présent et visent le changement plus que la compréhension. Ces approches utilisent le contexte de vie actuel des patients pour résoudre les problèmes. Basée sur les nouvelles recherches en communication (Recherches du Mental Research Institute de Palo Alto), la thérapie systémique brève cherche à soulager la souffrance psychologique le plus rapidement possible en amenant le patient à faire des expériences nouvelles qui lui permettent d’affronter le présent et l’avenir de façon plus sereine. Approche axée sur les difficultés vécues dans le présent par les patients, la thérapie systémique brève accorde cependant une grande attention aux aspects cognitifs et affectifs de ces difficultés mais aussi aux réactions de l’entourage du patient. On a en effet constaté que ces dernières peuvent bien souvent contribuer à la genèse et au maintien de problèmes psychologiques, mais aussi à leur résolution. Cela signifie aussi que, même lorsque la personne qui souffre pense ne pas être responsable du problème, elle influencera l’autre en changeant certains de ces comportements et modifiera par ce biais leur interaction relationnelle.

Une thérapie n’est pas une analyse. La thérapie c’est le soin. Être thérapeute, c’est soigner. Mais analyser un processus ou une situation, c’est essayer de le comprendre : c’est une démarche intelligente (intelligere : comprendre), qui donne du sens. En thérapie systémique brève, la connaissance du supposé pourquoi ancien n’est ni nécessaire ni suffisante pour changer. La plainte caractérise le début d’une intervention : quelqu’un se plaint, pas forcément celui que l’on désigne comme perturbé d’ailleurs. La psychologie, la psychiatrie, l’analyse et de nombreux courants thérapeutiques se réfèreront chacun à leur lecture propre : chaque courant a son langage, ses étiquettes. Le courant systémique issu de Palo Alto, tentera d’éviter ce type d’étiquette : il se voudra non normatif. Il quittera les classiques de la psychopathologie pour ne parler que de problèmes.

La brièveté : c’est une conséquence, pas un but. Nicholas Cummings définit la thérapie brève ainsi : « Le patient a droit au soulagement le plus rapide, le plus complet et le plus durable possible de sa souffrance et ce de la façon la moins envahissante qui soit. Je ne lui demanderai rien d’illégal, rien d’immoral, rien d’impossible. En contrepartie, il fera tout pour me rendre inutile aussi vite que possible. »

La systémique : que nous allions bien ou mal, tout le monde en profite. L’un des principes même de l’éthologie est qu’un animal n’existe pas seul. Les thérapies systémiques vont dans ce sens en expliquant qu’un individu n’existe pas seul. Durkheim énonçait déjà que le suicide était un acte social. Chacun de nous appartient à différents systèmes humains : famille d’origine, famille actuelle, milieu de travail, club sportif, cercle artistique ou culturel, groupement philosophique, spirituel, politique, etc. Il n’est pas nécessaire de convoquer tout le groupe pour opérer un changement il est possible de modifier ses relations d’interactions avec les autres membres du groupe; ce qui peut avoir un effet sur le fonctionnement du groupe. L’individu fait partie d’un système et en est une pièce comme d’un puzzle. En modifiant une pièce, c’est l’ensemble du puzzle qui se modifie (il faudra compter sur les résistances du système à changer et la tendance naturelle du système à conserver son homéostasie).

Ses indications :

La thérapie systémique brève s’adresse à toute personne souffrant de difficultés psychologiques personnelles, relationnelles ou familiales : dépression, troubles anxieux (attaque de panique, phobies, …), alimentaires, sexuels et du sommeil, troubles obsessionnels compulsifs (TOC), problèmes de couple, problèmes scolaires, problèmes de relation parents-enfants, problèmes de manque d’estime de soi et difficultés professionnelles liées à des problèmes relationnels, au cadre de travail et/ou liées à la performance.

Thérapies - Réussir sa séparation, protéger ses enfants

Perdre le lien avec ses enfants au cours d’une séparation.

Vous vous séparez de votre conjoint mais pas de votre enfant. Et pourtant, cet enfant, vous le sentez s’éloigner doucement parfois, brutalement aussi. Des comportements de rejets, d’injures, d'évitement, de violence l’assaillent de plus en plus souvent, comme un mauvais virus dont on ne connaîtrait pas l’origine. Il ne veut plus vous voir, il ne veut plus venir chez vous...

Votre enfant est peut-être en plein conflit de loyauté, tiraillé entre ses parents, incapable de comprendre si ce n’est qu’il se doit de prendre parti pour sa sauvegarde. Le phénomène est complexe et c’est dans ce phénomène que je me suis spécialisée.

Les mécanismes agissant lors du trauma de l’effacement symbolique d’un des parents par l’autre parent ne sont pas encore suffisamment reconnus comme des stratégies mises en place par le sujet pour y survivre.Et pourtant...

Et la relation au milieu dans lequel l’enfant vit avant, pendant et après l’événement traumatique peut permettre, dans une certaine mesure, de comprendre comment et pourquoi un même événement sera traumatisant pour un sujet et pas pour un autre.

C’est ainsi que, dans une même fratrie, on pourra trouver des enfants complètement happés par le parent aliénant, d’autres qui rejettent totalement la manipulation, d’autres encore qui peuvent la contourner, jouant la discrétion totale, l’effacement de soi pour survivre au raz-de-marée.

Parce que leur place dans la fratrie, leur âge, le moment du développement de leur identité, ce qu’ils ont pu trouver dans ce milieu, et dans la relation qu’ils ont créée avec ce dernier, font d’eux des êtres uniques aux réactions singulières.

Nous pouvons tous avoir des comportements « aliénants », qui tentent de s’approprier l’amour exclusif de l’enfant ou de dénigrer à tort l’autre parent au cours d’une séparation, happés que nous sommes par "notre bon droit", notre conviction d'être dans le vrai, le juste. L’important est de pouvoir le reconnaître au plus vite et d’y palier en se faisant aider. Et si l’on est soi-même écarté de la vie de l’enfant, se faire aider pour avoir la « meilleure attitude possible » est vital pour soi, mais surtout pour l’enfant, pour que la situation ne se cimente pas et qu’il puisse au plus vite retrouver ses deux parents, si pas ensemble, en tout cas à ses côtés. Il y a des solutions et elles sont reprises dans la rubrique "Réussir sa séparation"

Un peu plus sur la systémique

Thérapie systémique brève, qu'est-ce que c'est?

Thérapies - Un peu plus sur la systémique - Thérapie systémique brève, qu'est-ce que c'est?

Par N.Desbiendras , un collègue thérapeute EMDR également

 

Thérapie Systémique brève :

Ce n'est pas, en premier lieu, pour éclairer un passé inchangeable qu'on a recours à la psychothérapie, mais parce qu'on n'est pas satisfait du présent et qu'on désire rendre meilleur son avenir.

Dans quelle direction et jusqu'où faut-il changer? A quel moment et à quel degré d'autonomie le problème devient-il acceptable? L'apparition d'un courant de changement chez le patient et à l'intérieur de sa famille nécessite un geste thérapeutique parfois inattendu pour émerger.

La thérapie brève est une méthode de résolution de problèmes qui aide rapidement le patient à trouver une solution efficace et durable. Les psychothérapies traditionnelles recherchent les origines des difficultés psychologiques dans le passé. Les approches systémiques et stratégiques s’intéressent au contraire à la façon dont les problèmes se manifestent dans le présent et visent le changement plus que la compréhension. Ces approches utilisent le contexte de vie actuel des patients pour résoudre les problèmes. Basée sur les nouvelles recherches en communication (Recherches du Mental Research Institute de Palo Alto), la thérapie systémique brève cherche à soulager la souffrance psychologique le plus rapidement possible en amenant le patient à faire des expériences nouvelles qui lui permettent d’affronter le présent et l’avenir de façon plus sereine. Approche axée sur les difficultés vécues dans le présent par les patients, la thérapie systémique brève accorde cependant une grande attention aux aspects cognitifs et affectifs de ces difficultés mais aussi aux réactions de l’entourage du patient. On a en effet constaté que ces dernières peuvent bien souvent contribuer à la genèse et au maintien de problèmes psychologiques, mais aussi à leur résolution. Cela signifie aussi que, même lorsque la personne qui souffre pense ne pas être responsable du problème, elle influencera l’autre en changeant certains de ces comportements et modifiera par ce biais leur interaction relationnelle.

Une thérapie n’est pas une analyse. La thérapie c’est le soin. Être thérapeute, c’est soigner. Mais analyser un processus ou une situation, c’est essayer de le comprendre : c’est une démarche intelligente (intelligere : comprendre), qui donne du sens. En thérapie systémique brève, la connaissance du supposé pourquoi ancien n’est ni nécessaire ni suffisante pour changer. La plainte caractérise le début d’une intervention : quelqu’un se plaint, pas forcément celui que l’on désigne comme perturbé d’ailleurs. La psychologie, la psychiatrie, l’analyse et de nombreux courants thérapeutiques se réfèreront chacun à leur lecture propre : chaque courant a son langage, ses étiquettes. Le courant systémique issu de Palo Alto, tentera d’éviter ce type d’étiquette : il se voudra non normatif. Il quittera les classiques de la psychopathologie pour ne parler que de problèmes.

La brièveté : c’est une conséquence, pas un but. Nicholas Cummings définit la thérapie brève ainsi : « Le patient a droit au soulagement le plus rapide, le plus complet et le plus durable possible de sa souffrance et ce de la façon la moins envahissante qui soit. Je ne lui demanderai rien d’illégal, rien d’immoral, rien d’impossible. En contrepartie, il fera tout pour me rendre inutile aussi vite que possible. »

La systémique : que nous allions bien ou mal, tout le monde en profite. L’un des principes même de l’éthologie est qu’un animal n’existe pas seul. Les thérapies systémiques vont dans ce sens en expliquant qu’un individu n’existe pas seul. Durkheim énonçait déjà que le suicide était un acte social. Chacun de nous appartient à différents systèmes humains : famille d’origine, famille actuelle, milieu de travail, club sportif, cercle artistique ou culturel, groupement philosophique, spirituel, politique, etc. Il n’est pas nécessaire de convoquer tout le groupe pour opérer un changement il est possible de modifier ses relations d’interactions avec les autres membres du groupe; ce qui peut avoir un effet sur le fonctionnement du groupe. L’individu fait partie d’un système et en est une pièce comme d’un puzzle. En modifiant une pièce, c’est l’ensemble du puzzle qui se modifie (il faudra compter sur les résistances du système à changer et la tendance naturelle du système à conserver son homéostasie).

Ses indications :

La thérapie systémique brève s’adresse à toute personne souffrant de difficultés psychologiques personnelles, relationnelles ou familiales : dépression, troubles anxieux (attaque de panique, phobies, …), alimentaires, sexuels et du sommeil, troubles obsessionnels compulsifs (TOC), problèmes de couple, problèmes scolaires, problèmes de relation parents-enfants, problèmes de manque d’estime de soi et difficultés professionnelles liées à des problèmes relationnels, au cadre de travail et/ou liées à la performance.